renseignements administratifs, référencement, validation , éthique, évaluation
Dr Michel Ruel, (FHYPAC : « Formation, hypnose, activation de conscience » ) :
Il s’agit d’une microentreprise, créée en fin 2015, qui est enregistrée en tant que prestataire de formation auprès du préfet de région Ile de France sous le numéro 11 75 5400575. Cet enregistrement ne vaut pas agrément de l’État.
Siret : 81369448600016
Référencée « DATADOCK »
Reconnue comme ODPC (n°7097) par l’Agence Nationale du Développement Professionnel Continu (ANDPC) : les dates et programmes de mes actions de formation sont visibles sur le site de l’ANDPC, les professionnels de santé peuvent s’inscrire sur https://www.mondpc.fr afin que leur formation soit subventionnée et valide leur obligation de formation continue.
Des liens forts avec l’AFHYP : mes programmes sont soumis au bureau de l’AFHYP, et mes formations reconnues par l’AFHYP et donc aussi par la CFHTB.
Ethique
La FHYPAC adhère au code éthique de la CFHTB, que voici, et je demande à mes élèves d’adhérer à la charte éthique de la Fhypac (voir ci après) :
CODE ETHIQUE de la CFHTB
(Confédération francophone d’hypnose et de thérapies brèves)
Nos associations se proposent de donner une formation qualifiante à la pratique thérapeutique de l’hypnose.
En raison des dangers que ferait peser sur le crédit scientifique de l’hypnose et des hypnopraticiens un mauvais usage de cette formation, il est demandé aux candidats de souscrire au code éthique de l’association.
1. L’intérêt et le bien-être du patient doivent toujours constituer l’objet prioritaire.
2. L’hypnose est considérée comme un complément à d’autres formes de pratiques scientifiques ou cliniques. Il en résulte que la connaissance des techniques d’hypnose ne saurait constituer une base suffisante pour l’activité thérapeutique ou de recherche.
L’hypnopraticien doit donc avoir les diplômes requis lui permettant d’exercer dans le champ où s’exerce son activité hypnotique.
3. L’hypnopraticien limitera son usage clinique et scientifique de l’hypnose aux aires de compétences que lui reconnaît le règlement de sa profession.
4. L’hypnose ne sera pas utilisée comme une forme de distraction. Tout particulièrement, toute participation à des spectacles publics, ludiques sera proscrite.
5. L’hypnopraticien ne facilitera ni ne soutiendra la pratique de l’hypnose par des personnes non qualifiées (Cfr ci-dessus point 2).
5.1 L’hypno praticien ne donnera en aucun cas des enseignements impliquant l’apprentissage des techniques hypnotiques à des personnes ne disposant pas d’une qualification adéquate.
Des exceptions seront faites à ce principe pour les étudiants en fin de qualification dans les champs professionnels où doit s’inscrire leur pratique de l’hypnose : Médecins, Dentistes, Psychologues, Infirmiers, Kinésithérapeutes.
Dans tous ces cas, le passage à la pratique de l’hypnose reste conditionné à l’obtention de qualification complète dans le champ professionnel considéré. Pour les étudiants des professions paramédicales, la pratique de l’hypnose supposera la mise en place d’une structure de travail supervisé, selon le champ d’application, par un hypnopraticien médecin, psychiatre, psychologue, chirurgien dentiste d’au moins cinq ans d’ancienneté de pratique en hypnose médicale.
5.2 La communication d’informations relatives à l’hypnose auprès des différents médias est recommandée dans la mesure où elle s’appuie sur des connaissances précises et permet de minimiser les distorsions et les représentations erronées relatives à l’hypnose. Réciproquement, il est demandé aux hypnopraticiens formés par l’association d’éviter toute action (communications, publications, etc…) tendant à compromettre l’aspect scientifique et la dimension éthique de la pratique hypnotique en donnant à celle-ci une représentation tendancieuse (amalgame avec magie et les para-sciences) et simpliste incitant par là même à une pratique non qualifiée. En cette matière, s’abstenir de tout triomphalisme militant et citer ses sources sont deux règles qui s’imposent.
C’est pour ces raisons que les hypnopraticiens qui sont en cours de formation sont invités à s’abstenir de faire des communications publiques sur l’hypnose ou la thérapie éricksoniennes (conférences, articles, interviews, contacts avec la presse écrite ou audiovisuelle) tant que leur formation n’est pas terminée.
Le non-respect de ces engagements pourra conduire le Conseil d’administration de l’association à prononcer l’exclusion de l’association, de la formation et/ou la non attribution des attestations.
Charte éthique des participants aux formations du Dr RUEL Michel/FHYPAC
« En suivant une ou plusieurs formations proposées par le Dr Ruel Michel, je m’engage à mettre en application les acquisitions faites dans le strict respect des lois et des règlements régissant ma profession d’origine. En particulier, si je souhaite pratiquer l’hypnose à visée thérapeutique, j’ai bien noté que je dois avoir les diplômes m’y autorisant, et que le seul apprentissage de l’hypnose ne m’offre pas les bases suffisantes ni le cadre légal et déontologique pour exercer avec une intention thérapeutique.
Dans ma pratique de l’hypnose, je m’engage à mettre en œuvre , avec autant de compétence que possible, toute démarche visant à améliorer le bien être du patient et sa santé, dans le respect de son intégrité, de ses valeurs et de ses croyances. Son intérêt tel qu’il me l’a exprimé et défini doit toujours primer dans les options thérapeutiques que je choisis d’explorer afin de remplir les objectifs qui me sont assignés par le consultant et/ou par son représentant légal. »
Evaluation
Avant l’inscription, je demande au professionnel ce qu’il connaît de l’hypnose, ses formations antérieures, afin que la formation soit adaptée à ses attentes.
Pendant la formation, les démarches habituelles des organismes de formation (prétest, post test, évaluation de satisfaction ) permettent d’évaluer les acquis et le ressenti du participant.
Après la formation, un questionnaire d’impact permet d’évaluer les modifications de la pratique professionnelle , qui ont suivi la formation.